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 Jenny Crystal Fawkes _ Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.

Jenny C. Fawkes

Jenny C. Fawkes

Messages : 83
Date d'inscription : 04/11/2013
Age : 30

Jenny Crystal Fawkes _ Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.  Empty
MessageSujet: Jenny Crystal Fawkes _ Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.    Jenny Crystal Fawkes _ Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.  EmptyDim 24 Aoû - 21:53


Votre personnage

 
Jenny Crystal Fawkes

27/09/1986
Âge : 28 ans
Origine : Washington
Groupe : Mutants
Sexe : Féminin
Sexualité : Hétérosexuelle

Métier : Directrice adjointe à Oxana
Particularité : Télékinésie
Aime : Le bruit de la pluie sur un toit en taule
Aime pas : L'odeur de la sardine grillée

Peur : Les airaignées
Espoir : Voir les mutants et les humains vivre en paix
Envie : D'un bain chaud avec de la bonne musique
Avatar : Ashley Greene

Anecdotes

Elle a toujours des lingettes anti-septiques dans son sac Elle ne peut dormir que si elle a trois oreillers pour elle seule Ellemet très souvent des chaussettes dépareillées A 16 ans on l'a retrouvée sous la table du salon après s'être pris une cuite en finissant les fonds de verres des invités pour l'anniversaire de sa mère Elle n'a absolument pas la main verte Elle préfère la compagnie de son chat plutôt que celle des humains Elle fait toujours brûler les steacks Son chat s'appelle Mushu Elle oublis très souvent les clés de sa voiture sur le contact Elle a 47 paires de chaussures

Histoire

Jenny (ou Jen’) a vu le jour dans une famille aimante, dans une maison baignée de joie et d’affection. C’est une fille unique et fortement désirée par ses parents, sa mère étant très peu féconde et son père n’ayant pas assez de spermatozoïdes ou alors, trop faibles pour parvenir jusqu’aux ovules, autant dire que pour eux avoir un enfant était la chose la plus magique qui aurait pu leur arriver. C’est au mois de septembre que naquit la petite Jenny, petite brune aux yeux bleus, l’idéal de sa mère. Elle avait tout pour passer une enfance heureuse et pleine de joie si elle n’était pas tombée gravement malade. À l’âge de six ans, après de nombreux malaises, les médecins ont détecté chez cette enfant une maladie sanguine. Elle était atteinte de leucémie chronique.

C'est à partir de cet âge que la petite passa la plupart de son temps dans des chambres d’hôpital. Ce cancer lui fit perdre tous ses cheveux et le traitement qu’elle reçut la rendit, pendant plusieurs années, fragile et dépressive. Ce fut les mois les plus noirs de sa vie et les plus douloureux également. En effet à cause de cette maladie on dut lui faire deux opérations, l'une pour une greffe de reins et deux mois plus tard après de longs mois d’attente pour un donneur on lui greffa un nouveau cœur.

Mais heureusement la jeune enfant avait une envie de vivre incroyable et elle n’était pas décidée à se laisser mourir sans rien faire. Ce fut à l’âge de 11 ans qu’elle retrouva ses cheveux et sa force vitale, son pouvoir se déclencha à cette époque. Elle s’en rendit compte lorsque tout autour d’elle se mit en lévitation, et dès qu’elle essayait d’attraper quelque chose qui était trop loin pour elle, il venait se loger directement dans ses mains. Elle avait tellement peur de la mort et de ce qui pouvait bien lui arriver après son décès, qu’elle ne voulait pas se laisser mourir pour savoir ce que son âme allait devenir. Sa curiosité avait ses limites. Elle voulait cependant savoir comment pourrait évoluer son don.

Ses parents la soutenaient dans tout ce qu’elle entreprenait et elle ne se sentit jamais délaissée. Elle recommença petit à petit à reprendre une vie normale en battant un peu plus chaque jour cette maladie qui se déversait dans ses veines. Et ce fut à 14 ans que les médecins lui annonçaient avec une joie non dissimulée qu’elle était complètement guérie, elle savait en quelque sorte pourquoi, son don l’avait un peu aidée son système immunitaire n’était pas complètement nul finalement.

La jeune adolescente sentit alors la chance qu’elle avait de vivre. Pendant ces longues années de maladie elle avait souvent souhaité mourir à certains instants de trop grande faiblesse pour trouver la paix, mais maintenant la vie lui revenait et la peur s’envolait comme les mauvais souvenirs. Elle n’allait pas louper cette occasion ni gâcher tous les efforts qu’elle avait fait pour s’en sortir. Elle se jura alors de vivre sa vie pleinement et ne jamais louper une occasion de s’amuser.

Elle alla au lycée puis, c’est à l’âge de 19 ans qu’elle décida de quitter ses parents, non sans tristesse, pour découvrir le monde sous un tout autre regard. Ses parents la laissèrent faire ses propres choix et tous les mois lui versèrent une grosse somme d’argent sur son compte. Elle fit des études de lettre et réussit à passer le concours à l’entrée de la célèbre école de journalisme American University. Une nouvelle preuve qu’elle avait pris, pour de bon, le dessus sur sa maladie.
Elle fut la première de sa promotion avec le privilège de choisir la destination pour prendre ses fonctions. Elle choisit donc de rester en Amérique et plus particulièrement sa ville de Washington qui lui tendait les bras.
Elle prit un studio que ses parents lui payèrent ainsi que tous les aménagements qu’elle désirait.

Mais voyons un peu comment tout a dérapé... comment sa vie a basculé du jour au lendemain pour lui faire vivre le pire des cauchemars, laissons-lui la parole...

~ Ma carrière avait très bien débuté, je grimpais les échelons à une vitesse vertigineuse, ce qui m'attirait beaucoup d'amis, mais aussi des jalousies. Un jour j'ai reçu un appel téléphonique des plus inquiétants, me disant que des gens allaient venir chez moi et me retirer de ce monde, moi et... mon frère. Au départ je ne pris pas tout ça très au sérieux, cela me faisait même rire. Je n’avais pas de frère, alors forcément je pris ça pour un canular. J'avais l'habitude de recevoir des coups de fil étranges depuis que ma notoriété devenait conséquente. Plus les jours passaient et plus je recevais cet étrange appel. Je pris peur mais je refusais d’appeler la police. Seulement un soir on vint toquer à ma porte. Un jeune homme, un peu plus âgé que moi mais de peu, se tenait devant moi, brun, yeux sombres, carré mais pas trop. Il m’annonça alors que nous étions frères et sœurs. Je lui claquais la porte au nez pensant encore  un témoin de Jéhovah ou une histoire du genre. Mais lorsque je retournais à mon canapé le jeune homme s’y trouvait et sans que je n’eut le temps de lui demander par où il était entré il avait déballé sur la table basse les photos de famille. De la sienne, mais aussi d’une partie de la mienne. Ce fut un choc pour moi qui me croyais enfant unique. Il me raconta tout, comment mon père en réalité n’était pas si impuissant que ça, qu’il allait souvent voir ailleurs, et qu’il était le fruit d’une de ces relations extra-conjugales. Nous nous sommes tout de suite bien entendus et c’est comme si nous nous connaissions depuis toujours, même si nous ne venons pas du même monde, lui et moi c’est pour la vie. J’ai tellement de temps à rattraper.

Mais c'est un soir que tout bascula.

Après avoir reçue l'un de ces nombreux et inquiétants coups de téléphone je me décidais à sortir dehors, la nuit était douce et calme, la lune dansait avec les étoiles et ma tête s'égarait ailleurs. C'est alors que je remarquais qu'à travers mon dédale en ville deux voitures tout-terrain me suivaient où que j'aille. La peur me saisit et je me mis à courir, de plus en plus vite en entendant les moteurs accélérer aussi. Je m'enfonçais dans des ruelles plus sombres les unes que les autres, éclairées seulement par les phares des deux 4x4 noirs. Malheureusement pour moi, ma course se finit dans un cul de sac derrière un restaurant chinois dont la porte de service était verrouillée. Les véhicules s'arrêtèrent et des hommes en tenues militaires en descendirent, des armes les plus étranges dans les mains. Puis, à l'arrière de l'une d'elle, une femme blonde, svelte et élancée se décida à sortir une fois tous les gorilles en place, elle tenait une valise argentée en métal à la main en me fixant avec un sourire tandis que mon dos se colla contre le mur à force de reculer. Elle posa la valise sur le capot de la voiture et en sorti un collier, surement fait en métal avec des lumières vertes tous le long, elle s'approcha de moi semblant vouloir me le mettre autour du cou, d'un coup rapide et vif de main j'envoyais la benne à ordure sur elle l'envoyant rapidement au sol. C'est alors que les soldats ouvrirent le feu, mais de leur canon ne sortaient pas de balles... des sortes de chaînes électrisantes, comme un taser sans fil qui vous paralyse vous forçant à sombrer dans un trou noir et dont vous vous réveillerez sans aucun souvenir.

Je ne me suis réveillée que le lendemain, seule, dans une cellule contenant deux lits, un lavabo et un WC, deux lits oui... mais j'étais bien seule, complètement apeurée et avec un mal de crâne des plus insoutenables. Je soulevais mes manches et remarquait avec dégouts les marques des impacts électriques laissées par ces armes que je n'avais jamais vu et qui me brûlaient férocement. La première des choses que j'ai voulu faire était de faire valser la porte de ma cellule et m'en aller de cet endroit. Mais lorsque j'ai voulu utiliser mon pouvoir, une violente douleur autour de mon cou me fit plier les genoux, m'écroulant au sol. On semblait m'avoir mis une sorte d’inhibiteur de pouvoir, quelque chose qui m'empêchais de m'en servir à défaut de me faire souffrir encore plus.

Puis vinrent les premières séances d'expériences, de tortures, considérée comme un rat de laboratoire je ne voyais plus l'intérêt de me battre contre eux puisque toutes tentative était vaines et réprimandées de manière ignoble et inhumaine. Mon frère avait été capturé aussi, quelques jours après moi, c'est alors que j'ai vraiment commencé à regretter de ne pas avoir pris ces appels étranges au sérieux, ils avaient mis la main sur mon Deeclan et je ne leur pardonnerais jamais !

Et puis un jour, qui semblait pourtant ressembler à tous les autres jours, on nous emmenait en salle d’exercice pour user de nos dons et c’est alors que j’ai dit non. J’ai refusé. Je ne voulais plus utiliser mon pouvoir pour leur permettre de faire leurs petites expériences sur nous. Non s’en était trop. Les blessures, la fatigue, les nerfs qui lâchent… je n’en pouvais plus, j’étais exténuée. J’ai eu le droit à tout. Tout d’abord à l’isolement, une cellule encore plus froide et obscure que celle que nous avions. Comme je ne cédais toujours pas on m’a privé de nourriture et d’eau. Rien à faire, cela me rendait encore plus faiblarde mais je m’en fichais, je ne voulais plus. Cela avait assez duré. Puis vint le tour des tortures, plus horribles les unes que les autres… scalpels, fer rouge et autres injections de produits dans mes veines… tout ceci était tout simplement inutile. Plus rien ne fonctionnait, ils ne voulaient pas que ma rébellion se propage aux autres qui commençaient déjà à montrer des signes de résistance. Ils cherchaient par tous les moyens d’étouffer cette haine montante, de leur faire croire que j’avais succombé à ce que l’on m’infligeait. Ils cherchaient mon point faible, mon ou mes talons d’Achille. Ils re-visionnaient chacun des exercices que j’avais exécutés, rien… jusqu’à ce qu’ils voient la lueur d’espoir que j’avais dans les yeux lorsque je regardais mon frère. Cette lumière qui symbolise tellement de choses pour deux êtres, des liens si forts et indestructibles. Et ça, ça ne leur a pas échappé.

Ils m’ont emmené en salle d’exercice sur le champ, ainsi que mon frère. Tous les deux. Comme à chaque séance d’exercice ils m’ont ôté mon collier. Je ne comprenais pas. Pourquoi j’étais dans la même pièce que lui mais séparée par cette vitre ‘blindée’. C’est alors qu’ils ont commencé. La torture était à présent visuelle, ils prenaient un malin plaisir à jouer les tortionnaires sur Deeclan. C’est alors que quelque chose se brisa en moi comme un gros CLACK qui fait que la haine que vous avez engrangé en vous depuis bien trop longtemps avait enfin décidé de sortir. Et ces mots retentirons toujours dans mon esprits, tandis que la lame d’un couteau de boucher s’enfonçait sous la peau de l’homme que j’avais à peine retrouvé avant de nous faire enfermer ici. « Tu vas obéir et utiliser ton gêne maintenant ?! », la voix de la garce résonnait dans ma tête, la réponse fut simple et sans appel un regard remplis de haine, comme si le feu brûlait en moi, une vitalité incroyable venait de faire son apparition alors que je ne tenais pratiquement plus debout, un peu comme un cadavre ambulant « Oh oui ! »  D’un simple regard la vitre blindée explosa en million de morceaux, blessant au passage les scientifiques qui prenaient note de la situation, j’en profitais d’un geste de la main droite pour faire reculer le militaire qui s’attaquait de trop prêt à Deeclan tandis que de l’autre je brisais son collier. Là ils avaient eu du fil à retordre. Avant de nous éclipser et pendant que l’alerte était donnée j’adressais un dernier regard à l’un des scientifiques tout en lui tenant ces propos :

« On ne touche jamais à quelqu’un que j’aime. »

Nous nous sommes enfuis par téléportation. Nous avons atterris dans une autre ville dont nous ne découvrions le nom que bien plus tard. Metropolis. Là avons croisé la route de  Jackson Barrow, dirigeant d’Oxana qui nous a pris sous son aile.
Le monde avait bien changé pendant les deux ans où nous avions été enfermés.  Jackson nous expliquait qu’ici tout était beaucoup plus surveillé qu’à Washington, les checks points se sont multipliés comme des champignons, de plus en plus de contrôles, Aleid avaient la main mise sur tout, sur le gouvernement, les médias, la liberté. Mais je ne perds pas espoir de voir le monde un jour retrouver sa paix d’antan.
~


Comme vous avez pu le constater elle vécue une période des plus noires de toute sa vie, mais en contrepartie elle trouva une famille bien plus soudée que jamais. En effet Jackson Barrow en plus d’être le dirigeant d’Oxana est le directeur de l’Université pour surdoués de la ville. Il a appris à Jenny et Deeclan à se servir de leurs pouvoirs comme jamais. Ils sont tout deux devenus les bras droits de Jackson et le bruit court que lorsque le temps viendra, Jenny prendra la tête de l’école.

Pendant ce temps, elle espère du plus profond de son cœur que bientôt les mutants et les humains pourront vivre en harmonie... Mais tout ceci semble totalement irréel sachant qu’Aleid  avec l’aide du gouvernement font tout pour les faire passer comme des monstres sanguinaires aux yeux de la population.

 


Derrière l'écran

 
Pseudo : Emy / PLOUF
Âge : 21 ans
Sexe : Nenette
Pays/régions : France
Comment avez vous découvert le forum ? J'en suis la co-fondatrice
Comment trouvez vous le forum ? A mes yeux il est parfait

Fréquence de connexion : 5j/7j
Autre compte : //
Petit mot ? Rhubarbe

Jenny C. Fawkes

Jenny C. Fawkes

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MessageSujet: Re: Jenny Crystal Fawkes _ Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.    Jenny Crystal Fawkes _ Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.  EmptyDim 24 Aoû - 21:53


Mutant

 
Religion : Oxana
Camp :  Rebelle
Position : Active
PNJ : Oui

Quand avez-vous appris l'existence de votre don ? Comment s'est-il manifesté la première fois et comment avez-vous appris à le gérer ?
- Vous :
J'ai appris l'existence de mon don lorsque j'avais 11 ans et que je me trouvais sur mon lit d'hôpital, je voulais attraper la télécommande qui se trouvait trop loin de moi, jusqu'à ce que ce soit elle qui vienne se loger directement dans ma main. Autant dire que j'ai crus devenir folle. Mais l'expérience se réitéra avec divers objets, je compris alors que j'avais hérité de quelque chose d’exceptionnel !

Quelles sont les capacités qu'entraine ce don ? Quelles sont vos limites d'épuisement ? Jusqu'où pouvez-vous aller grâce à votre gêne ?
- Vous :
La télékinésie me permet de faire tout un tas de choses, je peux déplacer des objets assez facilement, ça ne me demande pas d'effort en particulier, il m'arrive même de les déplacer uniquement par la pensée, sans avoir besoin de faire un quelconque geste de la main. Mais plus l'objet est gros, plus les efforts que je dois fournir sont importants et donc l'épuisement arrive plus ou moins vite avec parfois le déclenchement de quelques migraines.

Avez-vous déjà été traqué ? Avez-vous peur de l'être ? Si vous l'étiez, jusqu'où seriez-vous prêt à aller pour vous en sortir ?
- Vous :
Hum... et bien oui. Lorsque j'étais à Washington. C'est une période sur laquelle je n'ai pas spécialement envie de m'étendre. La seule chose que je peux vous dire c'est que la violence ne résout rien, elle n'engendre que la haine et une escalade dans ce domaine, je serais prête à aller jusqu'au bout de là où mes paroles pourront me porter. Je suis prête à défendre la cause mutante et en dernier recours seulement, prendre les armes.

Que pensez-vous des religions en place ? Avez-vous remarqué un changement depuis que les gens sont au courant de l'existence des mutants ? Appréciez-vous ce nouveau système de surveillance continuelle et absolue ? ( Bracelet, couvre-feu.. )
- Vous :
Les religions permettent à la population de trouver leur place, une case dans laquelle ils peuvent se ranger. Sans ces cases l'être humain est perdu et à besoin de se rassurer. Pour moi c'est à ça que servent les religions, et uniquement à ça qu'elles devraient servir. Non pas à utiliser des hommes pour porter les désirs fous de certains illuminés de cette ville. La population est beaucoup plus craintives depuis qu'ils ont appris que les mutants étaient réels et que la "chasse aux sorcières" des siècles précédents avaient réellement existées, tous le monde est suspicieux de tous le monde. C'est flippant.
Concrètement je suis totalement contre ce système d'oeil omnipotent qui nous scrute... Mais bon que faire de plus ?

Si vous deviez espérer quelque chose de cette guerre entre les Mutants et le gouvernement, qu’espéreriez-vous ?
- Vous :
Tout simplement en deux mots : LA PAIX. Que l'on puisse cohabiter sans heurs, sans craintes. Comme nous le faisions avant.


Je vous remercie, pour ces quelques minutes, ces réponses vont nous être bien utiles.

 
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